


Un refuge pour l'âme. Une combinaison fascinante de modernité et d'hospitalité traditionnelle et en même temps, un endroit un peu extravagant, plein d'imagination et de fantaisies.
Il fut un temps un refuge pour gens fiers et indomptables. Il est aujourd’hui chaudement recommandé par les esprits libres.
L'âme de la maison est « comme un morceau de terre et de ciel suspendu dans le temps ». Elle est ancienne, cachotière et fascinante ; l'hospitalité de ses habitants est simple et cordiale, traditionnelle avec un « je ne sais quoi », indescriptible mais qui rend le départ très, très difficile.
On est tout de suite plongé dans une atmosphère intime, sans prétention et très personnalisée.
C'est aussi un pont vers la nature, plongé dans la tranquillité et le silence.
A quoi reconnaît-on les saisons chez nous ?
Au parfum des herbes officinales, à la fragrance du basilic, aux conifères toujours verts, au romarin, à la myrte, au laurier, qui entourent la maison et nous conduisent au bois avec les enchantements de lutins cachés.
Aux bienveillants rayons du soleil, qui, au printemps, viennent réveiller les bourgs disposés en arc de cercle devant nous.
Aux parfums intenses des incroyables journées d'automne, quand de la montagne monte « les cris et l'écume de la mer ».
Aux yeux prometteurs des filles, enveloppées dans la chaleur de l'été et caressées par la bise rafraîchissante du soir.
Aux yeux brillants des hommes quand ils débouchent, presque avec peur devant la cheminée allumée, une bouteille de vin des Cinque Terre.
Très beau ne pas faire rien.
Vous pensez: jours entiers vécus sans faire rien! Mais est-ce qu'il n'est pas fantastique?
Parler doucement avec quelqu'un ou suivre le fil silencieux des souvenirs,
Se promener lentement et dormir même à tard, ou se réveiller bientôt pour voir ce qu'il est grandi dans les champs de nouveau.
Lire à l'ombre du chêne, jouer avec les enfants (......ne faisons jamais le!).
Regarder le couché du soleil avec un verre de vin en main.
Nous pouvons faire beaucoup des choses d'ensemble, mais il ancre une fois vous laissée dire: au moins pour un po nous vivons sans quelques-uns engagement!